Puisque chaque mot est un préjugé et le language une prison , qu'un séisme qui vous prend au plus profond de l'être n'est qu'un cliché pour autrui. Puisque tu étais seul qui devinait les contours de ma langue. Je parle une langue morte.
Tout est affaire de décorChanger de lit changer de corpsà quoi bon puisque c'est encoreMoi qui moi-même me trahisMoi qui me traîne et m'éparpilleEt mon ombre se déshabilleDans les bras semblables des fillesOù j'ai cru trouver un paysCoeur léger, coeur changeant, coeur lourdLe temps de rêver est bien courtQue faut-il faire de mes jours?Que faut-il faire de mes nuits?Je n'avais amour ni demeureNulle part où je vive ou meureJe passais comme la rumeurJe m'endormais comme le bruit.Est-ce ainsi que les hommes vivent?
Le désespoir est une forme supérieure de la critique
Pour le moment,nous l´appellerons "bonheur",
les mots que vous employez n´étant plus "les mots" mais une sorte de conduit à travers lequel les analphabètes se font bonne conscience. Mais La solitude
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